Rafraichissement (PV Itarillë)

Arrivé en ville le jour même Itarillë éprouva un certain refus au faite d’aller s’installer au milieu de tous ces êtres, et parti errer dans les bois jusqu’à qu’on face de nouveau appel à lui. En attendant, il oubliait le temps et l’espace, se plongeant dans la seule contemplation de ce paysage splendide, choisissant de prendre des cheveux bleu nuit et des yeux jaunes. Peut de personne le savait, mais ce don si inutile qu’il possédé contenait pourtant un pouvoir utile pour les combats de toute sorte. Soudain, un bruit d’eau parvint jusqu’à lui et il sourit inconsciemment. Par la chaleur de ces derniers jours, il pouvait bien se rafraichir un peut. Il avança, guidé par cet unique bruit lorsque, au détour d’un arbre, lui apparu une cascade d’une incroyable beauté, magnifique. Alors qu’il s’en approchait, il remarqua une ombre dans l’eau. Il recula vivement, espérant qu’elle n’ait pas eu le temps de le voir. Il y avait quelque chose, là. Par habitude, il dirigea sa main vers son arme avant de se raviser. Ils étaient, après tout, en territoire angélique et, qui plus ai, proche d’une ville. Le calme semblant calmer là chose qui pouvait devenir une proie, si ennemi elle était, il quitta finalement sa cachette et se dirigea vers la personne qui, à son grand étonnement, n’était qu’une femme ange. Ne la regardant que dans les yeux, il parla d’une voix simple sans le moindre sentiment, comme si le simple faite de se trouver debout l’endormait :

« Je tiens à dire immédiatement que je ne veut qu’une chose : me rafraichir »

Il senti le regard de l’inconnu survoler son œil avec la cicatrise et se senti durcir intérieurement encore un peut plus. Les femmes, même ange, ne l’intéressaient pas le moins du monde, après qu’elle le comprenne ou non, c’était son affaire.

Itsuki avait vu juste. Quelqu'un s'était approché. Un homme semblait-il. Peu avare en paroles. Mais il avait raison sur un point, ils étaient là pour se rafraîchir rien d'autre. Itsuki, néanmoins, avait la curiosité de se présenter, même de façon muette face à cet homme. De loin, il semblait être un ange, et, à moins, qu'il ne fut corrompu pour faire des ravages en cet endroit, le facteur risque était réduit. De ce fait, Itsuki sortit de la cascade, ne restant plus seulement une ombre.


"Je ne comptais pas vous tenir la jambe, jeune fou. Comme vous venez d'arriver, je me présente Itsuki Etoshi, Ange de ce Paradis. Voilà. Maintenant vous avez raison, on est pas là pour parader. Toutefois la misanthropie n'empêche pas la politesse."

Itsuki prit quand même le temps de s'arrêter. Les couleurs n'étaient pas les mêmes mais ses yeux ne lui étaient pas inconnus. Malgré tout, après quelques secondes, elle revint où elle était. Au moins, elle était restée à découvert suffisamment longtemps pour que cet homme ait matière à réflexion. Plus elle y réfléchissait, plus elle se disait qu'il n'était vraiment pas impossible qu'ils se soient déjà croisés. Mais c'était confus dans sa mémoire, les événements précédents ayant la fâcheuse tendance à s'embrouiller sévère.

Itarillë la regarda sortir de l'eau et se présenter. Qu'elle importance, s'avoir commment elle se nomme? Maintenant il devait néanmoins se présenter, ce qui avait de le don de l'exaspérer. Alors qu'elle retournait dans l'eau, il commença à déboutonner sa chemise tout en disant

"Si vous saviez comme la misantropie empêche bien des choses, n'est en moins, il me semble que je dois répondre : Je suis Itarillë Nolâwe, ange du paradis également."

Puis, sans attendre, il entra dans l'eau pour se détendre. Jeune fou... il rit faiblement tout seul en se souvenant comment elle l'avait nommé. Ah, si elle savait. Oui, il était fou, mais d'une manière bien à lui. Il fini par se tourner vers elle, la fixant du regard. Quelque chose n'allait pas. Il l'avait déjà vu. Soudain, la peur qu'elle face partie de ses deux anciens villages le prit.

" J'ai la facheuse manie de n'oublier personne, même vu d'un bref coup d'oeil. Avez-vous vécu la guerre plus jeune? Disons vers les 7 - dix ans angélique. A moins, bien sûr, que vous n'êtiez une humaine avant."

Au moins, Itsuki connaissait son nom, ce qui malheureusement ne fit rien bouger dans sa tête. Seulement la sensation de l'avoir croisé... Mais enfin, où donc ? Il se présenta donc et posa une question saugrenue. Avait-elle participé à des guerres ou avait-elle été humaine au préalable ? Ne voyant rien de très intrusif dans la question, Itsuki n'aurait aucun mal à répondre. Puisqu'ils vivaient au même endroit, (ce qui apparemment avait tendance à exaspérer ce jeune fou) autant poser les cartes sur la table.


"Je n'ai pas participé à ces bains de sang. Ma famille à été tuée, nous étions des humains, seul moi et mon frère, Kamui, avons survécu. Cela répond à votre question j'espère ?"

Itsuki se délesta de ces derniers vêtements. Cachée entièrement par l'eau, elle ne perdait pas sa pudeur. Au moins la fraîcheur lui pénétrerait la peau sans être inquiétée. Elle décidait qu'il ne fallait rien ajouter, autant ne pas froisser cet esprit vif. Et puis, après tout, si le souvenir finissait par revenir, Itsuki le saurait bien assez tôt. Le temps n'avait plus vraiment d'importance, surtout ici, malgré la menace qui planait... Ce qu'Itsuki était loin d'ignorer. Paradis ne veut pas dire innocence. Bien au contraire. Le calme... Avant la tempête.

Il l'écouta sans quitter ses pensées. Il l'avait déjà va vu. Se moquant totalemen qu'elle se trouve à cette instant nu dans l'eau alors que lui avait encore tout ses habils - sauf chemise et chaussure - il avança vers elle incroyablement vite, mit sa main sur son visage et lui fit mettre la tête un peut plus vers l'arrière. Soudain il se souvint, c'était elle, la jeune fille pleurante. Drôle de surnom, mais c'était celui qui lui avait donné. Pour lui même, il murmura

" les larmes aux yeux..."

Inconsciament, il leva sa deuxième main vers elle et remarqua qu'elle le regardait comme si allait faire quelque chose d'incorrecte. Il sourit et attrapa une plante derrière elle avant de s'éloigner de nouveau. Il l'avait déjà vu, il y a longtemps de cela, mais c'était bien elle, la fille pleurante, la jeune fille qu'il avait apercu, dans une forêt pleurant, avant qu'il ne la voit, le jour suivant, sans les moindres larmes, au recrutement de la guerre

Itsuki fut surpris par les gestes de Itarillë.... Les larmes aux yeux... Itsuki eut un flash... L'ombre... Elle comprit. De ce fait là. La fille pleurant... En y repensant, elle eut un haut le coeur.


"C'est toi? Qui m'a suivi ? Toi, qui a vu mes larmes... Toi, qui m'as suivi comme une ombre. Pourquoi, ne t'ai tu pas montré ?"

Elle était passé au tutoiement. Uniquement, parce qu'il l'avait vu pleurer. Et ça s'était si difficile à admettre. De manière générale, il serait difficile d'admettre tout cela. Parmi toute la création, il fallait tomber sur le seul homme qui l'ait vu pleurer et en détresse. Se moquant d'être nue, elle se jeta sur lui.


"Où était-tu ? Tu es le seul qui m'ait vu comme ça..."

Itsuki voulait savoir. Ce type l'avait vu pleurer. Et ça c'était une atteinte. L'atteinte, d'avoir laissé une femme pleurer. Sa misanthropie, était une force et une faiblesse. Du moins, Itsuki le pendait. Le jeune semblait forgé comme ça.

Il la regarda sans la moindre réaction s'affoler, prit une pomme qui était dans sa chemise et la croqua. Il adorait les pommes. Il ne s'approcha pas, gardant cette distance entre eux, voulant la conscerver coute que coute, quoi qu'il advienne

" Oui je vous ai vu, non je ne vous ai pas suivi. je vous ai juste montré le moyen d'arrêter de pleurer comme un enfant et d'utiliser enfin votre temp à quelque chose. "

Il continua de manger et, finalement, au bout d'un long silence, daigna reprendre la parole. Que cette fille était naïf, s'en était incroyable. Jamais il n'aurait pu croire que l'on puisse être ainsi naïf dans un seul corp. Il se concentra sur sa pomme tout en parlant. Il adorait les pomme.

" Vous devriez au moins me remericer, au lieu de me tréter de misantrope alors que vous ne me connaissez pas, vous allez me faire regretter mon geste ! Mais bon, je vous pardonne"

Il leva les yeux enfin de sa pomme pour regarder la jeune fille. Il s'approcha d'elle et, la scrutant étrangement dans les yeux, lui demanda finalement au bout d'un faible instant

"pomme?"

Il ne la quitta pas du regard et mi une pomme dans sa main avant de s'écarter de nouveau.

Décidément ce bloc de glace était exaspérant. Itsuki avait agi avec rage, et lui n'avait pas réagi. ça semblait une habitude. Mais Itsuki n'allait pas non plus s'aplatir. Faillait quand même pas ce déconner. Il fallait continuer sur le même ton.

"Te remercier ??? De quoi ? De m'avoir poussé vers la guerre. C'est ça ? Alors oui je te remercie. Mais pas plus. Il faut croire, que ta misanthropie t'aveugle. Mais peu importe."


Itsuki s'était arrêtée de parler. Il lui avait présenté une pomme. Blanche Neige. Qui ne connaissait pas cette histoire ? La pomme... Itsuki prit le temps de le regarder bien profondément dans les yeux. Elle prit la pomme... Et attrapa le visage d'Itarillë et l'embrassa sans aucune cérémonie. Elle croqua ensuite la pomme avec délice.

"Tu n'es pas le seuk à aimer les pommes."

Itarillë la regarda manger sa pomme toujours sans la moindre exprecion sur le visage. Lorsqu'il eu fini la sienne, il la posa sur l'herbe et s'approcha d'elle d'un aire non commode. Lorsqu'il fut assez près, il posa une de ses mains sur sa nuque et captura son regard dans le sien. Elle ne pouvait pas détourner le regard, personne ne le pouvait lorsqu'il avait les yeux jaunes. Atous utile parfois. Il fit monter sa deuxième jusqu'à ces cheveux qu'il empoigna sans pour autant lui faire vraiment mal. Il lui parla plutôt dans un murmure qu'autre chose. Premièrement elle était incroyabelement naïf mais, deuxièmement, elel se contre disait. Ne pouvait - elle pas faire des actions qui concordes avec ses dires? Ce n'était pourtant pas bien compliqué!

" Je croyais que tu ne devais pas faire plus que me remercier ? "

il fit passa sa main droite de sa nuque à sa main et reprit la pomme dans laquelle il mordit sans la quitter des yeux qui, devant la femme ange, devinrent d'un rouge sang étrange. Il lui lâcha les cheveux et continua de manger comme si de rien était, attendant une réponse.

Se contredire faisait partie du jeu. Décidément, il semblait perdre patience. Itsuki fdemblait hypnotisée. Se contredire... Il fallait jouer à un jeu tout à fait différent. Itsuki parvint sans souci à se défaire du regard d'Itarillë.


"Me contredire ? Mais si j'étais prévisible, le jeu n'en vaudrait pas la chandelle. Bien au contraire."

Qui a dit que les anges étaient lisses, sans expression, et qu'ils étaient de bons toutous ? Itsuki gardait tout son calme. Alors que ses yeux changeaient... Itsuki enfonça les siens comme unb poignard.


"Joue ton numéro de glacier géant. Mais ton pathétisme se voit à des kilomètres."

Itsuki jouait la carte de la provocation pour elle-même, puisque lui ne réagirait pas. Il resterait de glace, comme s'il avait la trouille.


"Ne pas te bouger ne signifie qu'une chose, tu as horreur du risque. Et ça c'est indigne de toi."

Suite à la dernière phrase de la jeune ange, il explosa d'un rire incroyable, ne se retenant plus de rire. Lui, avoir peur du risque?! Il continua de rire face à cette ange si sûr d'elle, si confiante qu'elle ne comprenait pas. Elle croyait que... Il recommença à rire de plus belle alors qu'il c'était un peut calmé et s'approcha d'elle, les larmes aux yeux. Cela faisait longtemps qu'il n'avait pas rit autant, surtout au dépend d'une jeune ange qui, apparament bien consciente que tous ces dires ne le touchait pas, tenter de s'énervé elle même, ou du moins de se persuadé qu'elle avait encore un atout dans sa manche. Il se calma un peut plus, mais garda se sourir moqueure et lui dit en ayant par moment encore une trace de rire.

"Cela faisait longtemps que je n'avais pas autant rit ! Si tu savais, ma pauvre enfant, à quel point tu es dans le faux, je suis sur que tu rirais avec moi."

Comme tout le monde, elle pensait que ses yeux changeaient de couleur en fonction de ses émotions, elle se trompait. Il changeaient en fonction des pouvoirs qu'il voulait utiliser et, pour le moment, celui qu'il avait choisi n'était pas en action. Il perdit son sourir et lui dit

" Te sens - tu seule à ce point ? "

Question qui n'avait pas le moindre rapport et qu'il posa sans la moindre idée de la réponse possible. Il se souvenait juste d'une jeune fille, tout juste ange, versant plus de larme que peut en contenir son corps

Itsuki prenait le temps de voir que son interlocuteur, se mettait à rire comme un damné (intéressant pour le Paradis ?) Dans le faux hein? Itsuki pensait avoir un petite prise sur lui. Mais il fallait l'admettre Itsuki n'avait aucune prise.


"Le tout est que tes pouvoirs viennent de tes yeux. C'est pas si compliqué."

Itsuki fut légèrement surpris de cette dernière question. Mais elle ne fut pas si surpris finalement.


"Tu le sais Itarillë... Tu le sais... Comme tu m'a vu..."

Itsuki gardait des distances moralement.

Il resta près d'elle, ne la lâchant pas des yeux, faisant apparaître pour la toute première fois une émotion sur son visage, une émotion qu'elle ne parvenait pas à comprendre. Il la regarda et dit d'une voix remplit de compassion

" Je t'ai vu, oui, mais pas une fois. Plusieurs. Je venait chaque jour te voir, voir si tu allais mieux, voir si tu souriais. Tu ne souriais jamais. Tout à l'heure tu as souri, un faible instant, l'espace d'une seconde. J'espère croire que je t'ai aider à avoir ce sourir. Peut être n'aime tu pas combattre et aller à la guerre, mais au moins, tu ne passe plus tes journés à pleurer. Du moins, pas totalement... Sourit"

Il dessina l'escisse d'un sourire sur son visage d'un main habile et douce avant de se pencher vers elle pour lui murmurer doucement avant de s'arrêter

"Si tu ne ris pas, si tu ne souris pas... Pourquoi aurais-je fait tous cela?"

Il avait momentanément changé de comportement. Il avait eu de la compassion. Mais il ne fallait pas s'y tromper. Ce ne serait que temporaire sans doute. Itsuki le fixa. Il était le premier à voir plus loin que son enveloppe corporelle. Ainsi il l'avait vu plusieurs fois.


"Mais pourquoi ne t'ai tu jamais montré ? Pourquoi ? J'étais seule... On m'a orienté vers la guerre... Parce que j'ai pas eu le choix... Sincèrement. Mais aujourd'hui je ne sers pas à grand chose... Néanmoins..."

Itsuki eut un franc sourire cette fois.


"Je n'avais jamais de raison de sourire. Jamais..."

Itarillë la regarda mais ne souri pas, gardant ses yeux sur son visage, son sourire.

" Il est vrai que jamais tu n'avais eu une raison de sourire, à part celle - ci : de pouvoir encore te lever le matin, sans penser que ce sera peut être ton dernier jour. Pourtant, je t'ai vu sourire, le jour avant que je te gider vers la guerre, je t'ai vu sourir au soleil. Tu allais mieux. Peut être n'aurais-je pas du faire tout cela, mais la peur que tu perd ce sourir était trop grand pour moi. Je voulais que tu le garde, que, te levant, tu souri encore à la lune qui t'éclaire. Je ne me suis jamais montré car je n'en voyais pas l'utilité, je ne voyais pas le besoin que tu pouvais avoir de me connaître... même si, en réalité, tu ne pourra jamais connaître autre chose de moi que se que tu vois à l'instant."

Il s'écarta d'elle et dit d'une voix confiante

" On a toujours le choix c'est juste qu'on ne sens rend pas toujours compte à temps."

Itsuki écoutait ce que Itarillë venait de dire. Ainsi il savait tout. C'était dérangeant à plus d'un titre. Rien que le fait qu'Itsuki n'aie pu le voir, ça la rendait folle. Mais l'important n'était pas là. Le reste importait encore plus. Il fallait laisser les choses se faire. Le passé, n'avait pas d'importance. Le tout était de se tourner vers un avenir. Aussi belliqueux soit-il. Itsuki regardait encore cet homme.


"Ne t'enfuis pas... Tu mas relevé. De cela je dis te remercier."

Itsuki revenait vers lui...


"Ne pars pas encore..."

Itarillë se retourna en l'entendant s'approcher d'elle. Pas normal, il n'était pas normal depuis qu'il lui parlait. Pourquoi ne pouvait - il pas partir, là, maintenant, oubliant tous de leur conversation comme avec toute les autres femmes, pourquoi ne pouvait - il pas se retourner à jamais, ne jamais vouloir regarder derrière lui, pourquoi ne pouvait - il faire autre chose que de la regarder s'avencer vers lui, sans partir, sans revenir, sans bouger? Il la regarda s'avencer jusqu'à qu'il n'y ai plus d'avancement casimenent possible, toujorus en mémoire le sourir qu'elle venait d'avoir. Il se rapprocha dans la limite du réalisable et correcte, leva une main vers sa joue et passa l'autre derrière son dos de manière à l'enlasser sans véritablement la toucher. Il se pencha en avant, ses lèvres vers les siennes, sentant peut à peut son désir de partir disparaitre au profit du désir de rester. Il la vit fermer les yeux et aller l'embrasser. Il ne le fit pas. A la place, alors qu'elle avait encore les yeux fermés, il lui susura à l'oreille

" Je ne t'ais jamais quitter."

Itsuki voyait qu'il s'approchait encore. Il semblait hypnotisé par elle. Mais il ne fallait jurer de rien avec des hommes comme lui. Alors qu'il allait l'embrasser, elle sentit qu'il se détourna encore pour lui murmurer une phrase à l'oreille. Itsuki allait lui répondre.


"La question est... pourquoi ? Pourquoi tu ne m'a jamais quittée ? Malgré ta facilité à rester dans l'ombre ? Après tout, il était si simple pour toi de faire de moi une personne redevable ?"

Itsuki approcha son visage. Attendant sa réponse. Leurs souffles se croisaient à présent. Il fallait savoir maintenant.


"Alors... ?"

Itarillë la regarda sans vraiment l'écouter.Elle avait sourit...

" Pourquoi je ne suis jamais parti, pourquoi je ne t'ai jamais quitté? Je supose que c'est parce que... je suis un ange"

Alors qu'il disait ses derniers mot, il s'approcha assez pour posser ses lèvres sur les siennes. Il la senti fermer les yeux et en fit autant, l'embrassant sans se retenir. Sa main qui jusque ici l'enlasser sans vraiment la toucher la colla contre son lui et continua de l'embrasser. Mais il s'arrêta brusquement, s'écarta d'elle et parti à l'endroit où il aurait du rester, près de sa chemise. Il attrapa une pomme et lorsqu'il se retourna, ce fut denouveau un visage sans la moindre expression qu'elle vu, les yeux rouges flamboyants. Finalement il lui dit d'une voix sans émotion

"désoler"

la tournure des événements étaient prévisible. Le jeune fou, se rendit compte que son armure avait craquelé, et cette fois il s'enfuyait. Les yeux rouges, il revint à sa position initiale. Itsuki eut un rictus. Il ne fallait pas s'attendre à des violons non plus, elle le savait. Elle ne s'offusqua donc point se contentant de le regarder.


"Tu n'as pas à texcuser, beau prince. Tu ne m'as pas quitté parce que tu es un ange ? Il semblerait que je sois la seule personne que tu aies suivi ces temps derniers. Je dis ces temps derniers, car le temps est si lent ici..."

Itsuki vola jusqu'à et lui piqua sa pomme pour y mordre, puis la lui rendit.


"Est-ce si difficile de t'avouer une parcelle de vérité ? Après tout, ce n'est pas si grave..."

Itsuki le déséquilibra rapidement, ne laissant pas le temps d'utiliser la force. Elle prit ensuite la propre petite épée d'Itarillë et la planta à cinq bons mètres, l'immobilisant.


"C'est toi qui m'a appris à parler émotionnellement, fais en autant. Depuis le début, tu me dévores des yeux..."

Itsuki se présentait à lui.


"Alors vas-y... Sois un homme. Dévore moi..."

Itarillë la repoussa d'un geste de main et lui dit

" Tu ne comprend rien, impertinante. Sans le vouloir, mais yeux sont devenu rouge et non vert. Le rouge attire en la personne que je regarde le désir, l'envi, créant la même chose en moi. Si nous nous sommes embrassé, c'est uniquement à cause de ses yeux rouges passions et rien d'autre. Je ne te dévorerais pas, je ne te toucherais pas, reprend donc tes esprits et comprend un peut que cette chose que tu pourrais nommé "amour" n'est que chimère. Ce sont mes yeux, un point c'est tout. Maintenant, arrête."

Il fit redevenir ses yeux jaunes et reprit sa pomme. Oui, cela n'était que le fruit de ses yeux, rien d'autre, absolument rien d'autre jamais rien d'autre. Casiment nu, devant lui, elle le regardait étrangement, comme si elle avait du mal à le croire. Les yeux rouges ne sont as très efficace pour combattre, mais très utile pour des informations. Il ne voyait pas l'intéré de utiliser sa sur elle. Il voulu sortir mais elle était denouveau contre lui.

Itsuki prenait la vérité en pleine gueule... Mais le savait. Il n'était pas le seul à utiliser ce genre de pouvoir. Ittsuki impertiente ? oh ça oui Alors ! pour une autre fois elle allait pas bouder son plaisir. Ainsi il allait comprendre, que même pour lui, ça ne suffirait pas. De ce fait là... Il fallait faire bcp mieux. Elle apposa la main sur son épaule droite. Voilà.


"Tes yeux sont bloqués. Tu auras beau essayer de les changer, tant que je ne te les rendrais pas, tu auras tes véritables émotions. Pas celles que tu manipules. Et maintenant, vois la vérité en face. Si tu m'as suivi... C'est que tu étais intéressé."

Pour preuve, le rythme respiratoire s'accélérait de son coté, à ce cher jeune fou.


"Alors ça fait quoi de voir ses véritables émotions venir ?"

Itsuki ne faisait rien d'autre. Il verrait ses émotions réelles, et vu son excitation, il n'était pas de glace.

"Tu ne peux plus feindre. Admets tes émotions...

Il baissa les yeux et commença à se sentir énervé. Personne ne l'avait énervé depuis longtemps car la dernière personne à l'avoir fait était, et bien, morte !^^

"Mes émotions... mes émotions?!"

Itarillë releva ses yeux vers les siens et se releva d'une carrure imposante. Il l'attrapa par la gorge, la souleva avant de la progeter sur la terre ferme. Il s'avança vers elle tout en disant :

" Mes émotions sont celles que je t'ai montré jusque maintenant, mais les autres sont bien trop sombre pourque je les montres, c'est pour cela que j'utilise ses pouvoirs, ses pour cela que je ne te veux pas! J'éprouve du désire, au oui, mais de la colère principalement. je..."

Il tomba à genoux à côté d'elle est l'aida à se relever. Il posa sa main sur sa nuque qui avait une petite trace rouge et la prit contre lui.

"Arrête. Tu n'as pas besoin de ses sortilèges pour que je sois près de toi, je l'ai toujous était. Arrête tout de suite."

Itsuki craignait ce qui se passa ensuite. En bloquant ce pouvoir, les émotions brutes apparurent. Itsuki fut soulevée puis projetée sur le sol. De ce faot là elle ne fut pas surprise mais eut tout de même mal. Itsuki relâcha aussitôt son emprise, ce qui eut pour effet de le voir venir l'aider à se relever. Itsuki le regardait ensuite avec compassion et calme.


"Tu as toujours été là, mais jamais devant moi. C'est ça que je cherchait. Est-ce si grave d'éprouver quelque chose ? Laisse moi t'approcher vraiment. S'il te plaît... Pas seulement physiquement, mais pour ce que tu es... Celui qui m'a guidée tout ce temps."

Itsuki restait là ou elle était...


"Tu n'es pas le seul à éprouver du désir, tu sais..."